Prisca Olouna
La Force de toutes mes douleurs.
Loin de ne pas nous présenter une autobiographie des plus gaies, l’oeuvre de Prisca Olouna retrace les misères d’une jeune fille sur laquelle s’acharne un destin très noire. La Force de toutes mes douleurs est ce discours rigoureux sur une société en porte à faux avec un mot bien grand : l’intégration.
Le titre donne vraiment envie de lire cette oeuvre.
Bien trouvé.
j’ai lu « La force de toutes mes douleurs. »
une belle composition française.
écrit avec un peu trop de pudeur (comme peur de rallumer la flamme de quelques désagréments, l’histoire fleurtant un moment avec le côté politique) selon moi, j’ai l’impression que la force cette histoire (pleine de drames, de douleurs, blessures) est resté à l’interrieur de l’auteur et n’a pas saisit la chance de la plume et de l’encre et du papier pour sasir le lecteur.
c’est l’histoire d’une famille gabonaise dont le père est haut fonctionnaire. la famille a la chance de vivre un peu partout à l’étranger et n’a pas à se plaindre jusqu’au jour le père est arbitrairement tué. on reni à son épouse le droit à l’héritage; elle est spoliée du fait- semble t-il- de ne pas appartenir à la même ethnie que son mari. l’auteur aide sa mère dans un combat pour retrouver leurs droits. la prison les accueillera. il est aussi conter la maldie d’un frère.
le récit se tient.
mais il aurait été, à mon humble avis, préférable que l’auteur nomme le nom des ville; on se serait moins perdu en imaginant qu’elle ville se cache sous l’appelation Frenchville et autre…