La plume et les mots du Gabon

sociolinguistique, discours, littérature, arts

6 novembre, 2007

Abeme Nkoghe Pulchérie

Classé dans : publications gabonaises — azokhwaunblogfr @ 13:28

 La plume d’une poésie aux regards de la source.

pulcherie3.jpg  Avec ce premier ouvrage la vie est un bouquet de fleurs, paru en 2006 aux éditions publibook à Paris, Pulcherie Abème Nkoghé  prône  tant l’ouverture vers l’autre, que le sens profond de la vie avec son cortège de maux qu’elle ramasse avec une très grande détermination et une perspicacité recherchée.   

pulcherie.jpg Elle nous revient avec un second recueil de poèmes Le Chant des blessures ( Paris, Acora 2007), cette amante des mots met en scène une écriture truculente en quête d’un éclaircissement des causes qu’elle défend.

Dans son premier ouvrage, elle décline la trajectoire de toute existence par l’évocation des thèmes clés tels que l’amour, la trahison, mort… et donne à voir la vie comme un possible dépassement de soi et de ce qui nous entoure.

 pucherieabme.jpg Née le 11 décembre 1980 à Oyem (Gabon), Pulchérie Abeme Nkoghe (épouse Jamboué) est une ancienne élève de l’École Nationale Supérieur de Secrétariat de Libreville. Présidente-fondatrice de l’association « Jardin du Village » elle mène son combat entre  la France et le Gabon pour le  » mieux vivre » des populations  rurales qu’elle place au coeur d’un développement endogène par la promotion et la mise en valeur de l’agriculture maraîchère et l’élevage des animaux de basse-cour

 - Interview dans

-Amina

-Sud-Ouest,

- La République

2 réponses à “Abeme Nkoghe Pulchérie”

  1. Leslie dit :

    j’ai lu le premier recueil de poesie de Pulchérie Abeme Nkoghe et j’espère que le second est tout aussi interessant.

  2. Eric Joël BEKALE dit :

    Une autre consoeur! Bravo! La littérature gabonaise, toujours plus forte, toujours plus haut!

Laisser un commentaire

 

quelques mots parmi tant d'... |
MA PETITE FEE |
Sur une île un trésor |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Mona... lit ça!
| le blog de jeanluke et des NEQ
| Le jeux Lyrique