La plume et les mots du Gabon

sociolinguistique, discours, littérature, arts

12 décembre, 2007

Janis Otsiémi: contacts et publications

Classé dans : information publique — azokhwaunblogfr @ 23:45

J’ai le plaisir de vous annoncer la sortie de mon roman « Peau de balle » dans la collection « Polar d’Afrique » aux Editions du Polar.

ISBN : 978-2-35568-016-8 .Prix TTC : 19 € .Pour toutes commandes :

Editions du Polar, 1, rue Alexandre Schimmel 92350 Le Plessis Robinson (France) Tél. (33) 01 46 30 45 86  Web : www.editions-du-polar.com.

Mail : contact@editions-du-polar.com OTSIEMI Janis . B.P. 8168 Libreville – Gabon .Tél. 00 241 07 83 85 31. Courriel : janisotsiemi@yahoo.fr 

  Biographie, bibliographie, critiques:

 Janis Otsiémi: contacts et publications  dans information publique doc pressebookjanis.doc


3 réponses à “Janis Otsiémi: contacts et publications”

  1. Eric Joël Békalé dit :

    Le tout premier polar de la littérature gabonaise. Bravo et bonne route!

  2. Je n’ai pas eu tort de tronquer mes quelques sous de cinéma contre  »Peau de balle ».Texte qui n’est pas tombé de mes mains, il se donne à lire et à suivre comme un scenario digne de la méga délinquance qui empoisonne la capitale gabonaise …

    Bello est un véritable égoïste qui n’a d’yeux que pour son nombril. Nul doute qu’il laisse  »derrière  » et sur les carreaux deux vies … Espérons que ce qu’il considère comme un nouveau départ sera le commencement d’une vie tranquille et sans heurt… Toutefois,  »qui a bu boira ». Réussira t-il a faire une croix sur l’argent facile? Se posera t-il?

    Mimi, après s’être donnée à ce malfrat, pourra t-elle se regarder dans la glace? Que dira t-elle à son homme violent, macho, incapable de faire du bien à sa meuf et en quête de réussite qu’il est incapable d’atteindre?

    Comment les membres de la police nationale, véritables medecins après la mort, seront-ils capables de mettre hors état de nuire, ces multiples malfrats qui gangrènent la vie de paisibles ou malhonnêtes citoyens?

    Le roman policier gabonais avec à son bord les cadavres, les mobiles du crime, les justiciers, les justiciables, … est ici une nouvelle  »plage » de divertissement, de présences très marquées de registres liés à la criminologie, aux enquêtes , …

    Et si l’épaisseur de ce registre littéraire considéré à tort comme de la paralittérature, était un miroir local de la convoitise, du grand banditisme, des pratiques administratives odieuses,…

    Une manière bien significative de rendre vivace et de reconcilier le lecteur avec son univers. Peut-être faut-il y voir dans ce vernis descriptif, une vision cathartique des « moeurs  » gabonaises en proie à une  »évolution » chaotique autour de laquelle, de nombreux compatriotes murmurent, crient, sans que les choses ne changent positivement.

    Au point où on se demande s’il y a un pilote dans l’avion? Pourquoi ce nihilisme dès le titre de l’oeuvre: Peau de balle? Pourquoi faut-il que la balle soit  »vide ». Pourquoi n’atteindrait-elle pas le malfrat? Pourquoi le bringand court-il toujours? comme pour nous rappeller cette forme de résignation généralisée et jonchée dans la célèbre formule très prisée à Gabao » On va encore faire comment?

    Pourquoi l’absence de sanction?

    Ce texte fort de tension , au ryhtme rapide et ampoulé par des tristes vérités locales devenues immuables  » tout gabonais à deux actes naissances » -est porteur de la griffe très ouverte d’ un Janis Otsiemi qui se donne à coeur et à yeux ouverts.

  3. Rostano Eloge Mombo Nziengui dit :

    Ce commentaire me donne une véritable envie de séjourner dans ce texte afin d’entendre et d’explorer ce style qui paraît réaliste vivement que la diffusion se passe bien et bravo pour Janis dont le souvenir de Tous les chemin mènent à l’autre nous laisse encore entrevoir le drame psychologique après un accident de circulation et l’intériorisation par une recherche du moi du jeune Loye qui l’entraînera à conjuguer avec l’autre et l’amènera à comprendre que : “L’enfer n’est pas autour de moi ni devant moi, encore moins derrière moi, mais en moi. L’enfer, c’est moi sans l’Autre”. Encore Bravo à Janis et que la littérature gabonaise brille à jamais

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