La plume et les mots du Gabon

sociolinguistique, discours, littérature, arts

25 avril, 2008

Jeudi 15 mai: Les demons de Koumalaya

Classé dans : scène — azokhwaunblogfr @ 8:28

 Le théâtre express crée par Pierre Monsard Siégu poursuit ses activités et se produira au Centre culturel Français Saint-Exupéry de Libreville ce jeudi 15 mai à partir de 20 h 30 Les démons de Koumalaya est une composante des gaboniaiseries.  Cette représentation abordera une thématique varié: chomage des diplômés ,  gestion de l’Etat, echec scolaire,  … C’est tout un pannel des maux et des mots qui minent la société gabonaise  qui seront mis en exergue.

Mise en scène de Massous ma Mounguegui et Christian Nzigou.

Du rire, à la prise de conscience en passant par la responsabilité,  la reflexion et l’engagement, voilà les objectifs poursuivis par cette trentaine de comédiens.

Le reflexe théâtre, il nous sort des enfermements et Expressement.

La Tentation d’Adam de Andagui Bongo Ayouma: la presse gabonaise en parle

Classé dans : La presse en parle — azokhwaunblogfr @ 8:05

la20tentation20de28099adam1.jpg Une nouvelle plume gabonaise se donne à lire sous l’impulsion du medecin Andagui Bongo Ayouma. L’Union du 24 Avril 2008.

Isis Mabiala. 

Edna Apinda repond à Ibrahim Issa

Classé dans : La presse en parle — azokhwaunblogfr @ 7:34

merey1.jpgPlanète jeunes Avril-Mai 2008.Nous devons cette coupure de presse à  Leslie Amendjè.

24 avril, 2008

Aimé Noèl Ngwa Nguéma: Un combat pour la liberté

Classé dans : publications gabonaises — azokhwaunblogfr @ 9:22

ngwanguema.jpgngwanguema2.jpg Ce livre fort qui peint avec force et vérité la lutte d’un homme en quête de Justice et de paix est paru en février 2008  à Paris aux éditions L’Harmattan. ISBN/ 978-2-296-05007-5.

A lire impérativement.

23 avril, 2008

Madebé G.B.: Et si Dieu me demande dites lui que je dors de Bessora

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 7:59

bessora.jpg Cet article est paru dans L’Union du Lundi 3 mars 2008.

Isis Mabiala.

Nouvelles du Como de Jean juste Ngomo

Classé dans : publications gabonaises — azokhwaunblogfr @ 7:25

nouvellesducomo.jpg Ces notes de lectures parues dans le quotidien national l’Union du 22-04-2008 sont de Junior Otembé Nguéma, spécialiste de la critique littéraire  de presse, il est aussi romancier. Nous lui devons :La fin du mythe.

Leslie Amendje.

21 avril, 2008

Quelles incongruités!

Classé dans : publications gabonaises — azokhwaunblogfr @ 9:45

Pourquoi la bienséance à t-elle réculée avec autant de proportion dans la communication courante?

 Il faut dire que c’est d’une tristesse nauséeuse que d’entendre une épouse répondre à l’appel de son mari par :  » Quoi, qu’est-ce que tu veux encore »; une jeune fille parler à ses frères et soeurs dans un vocabulaire dépourvu de tout sentiment fraternel .

Les communications téléphoniques, celle que l’on peut entendre ci et là dans les coins de rue sont tout aussi faites dans un ton bruyant à la limite de l’explosion et en usant d’un vocabulaire souvent ordurier.

Où est donc partie cette douceur verbale que l’on retrouve chez les anciens sous des formes bien enrobées et douillettes et qui militent tant pour l’écoute que pour la dialogue.

Tous les milieux sont gangrenés pas cette brutalité, cette violence des mots qui traduisent certes des maux personnels  de tous ordres: psychiques, financiers, …

Il serait serait temps que des mots cours et surtout gratuits  comme: pardon, merci, s’il te plaît, et bien d’autres investissent nos lèvres et procure aimabilité, respect, douceur, écoute, …  C’est peut-être là le début du bonheur.

Et si on parlait moins fort aussi, cela éviterai des poussées de tension artérielle, des stress inutiles, … N’est ce pas?

Comment expliquez-vous la progression de cette violence verbale?

20 avril, 2008

GRAND ECART: De l’enchevetrement initiatique à la quete de l’aboutissement.

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 14:23

L’universitaire de renom, l’ingénieur inspiré, tous les impatients d’apporter leur concours au pays, mais que la mauvaise foi des uns et la jalousie des nantis engluent dans les matitis du chômage.  » Ces petits qui viennent de France là, ils croient que les diplômes c’est quoi? On mange les diplômes? On va leur montrer ça » P 108  Le rêve en miettes In Et si les Crocodiles pleuraient pour de vrai

Voila  ce qui plonge le candidat au retour au pays dans une forme de psychose. Et qui donne naissance à l’indécidabilité vertigineux qui habite de nombreux étudiants à la fin de leurs études. La sévère misère dans laquelle croupit une grande partie de la population gabonaise, conduit de plus en plus les parents à inciter leurs enfants à vivre dans les pays enneigés qu’ils considèrent à tort ou à raison comme des eldorados.

  Qui ouvrira les portes cadenassées de la réussite… à Mayombo?

L’œuvre de  Eric Joèl Békalé a la particularité de s’intégrer dans un cadre d’introspection associant à la fois le passé, le présent et l’avenir. Le jumelage de deux types d’initiations superposées entre deux vies et deux parenthèses donne à voir la somme des expériences capables d’amener l’individu à se fixer un cap. Ici, et en ce qui concerne Mayombo, celui de rentrer au bercail dans l’espoir d’engranger une vie meilleure à partir des compétences acquises à l’école des blancs, à l’école occidentale tout en se fondant sur un rocher bien solide, correctement travaillé et fortement protecteur. Papa Missoko et sa grand-mère avaient déjà posé les soubassements d’un édifice pret à regorger en son sein tous les éléments nécessaires à l’éclosion de l’homme social à Mbokville.

  

Les études en France, ne sont alors que l’huile qui  hydrate et fera luire cette belle matière, cet esprit ‘engorgé de connaissances et qui désire briller sous les lustres de la réussite personnelle qu’en se confinant aux cadres préétablis. Mayombo ne craint rien. Ses deux initiations, ses souffrances qui s’enchevêtrent entre l’initiation rigoureuse et pleine de ronces au Bwiti et les tracasseries quotidiennes d’une misérable et précaire existence d’étudiant salarié en basse besogne en France, nous offre l’image d’un homme  déterminé qui a connu  » la dure » et qui veut en toute modestie gravir les échelons d’une bonne insertion professionnelle qui lie à la fois talent et compétence, tout en gardant à l’horizon l’idée selon laquelle, rien n’est facile. Rien n’est gagné d’avance. Mayombo semble armer pour affronter la le visible et l’invisible. Loin de nier les passifs parfois singuliers et douloureux de ses amis qui l’ont précédé en action, il refuse de demeurer Le savant inutile dans une cité gangrenée par les punaises du dénuement, par les rues et les couloirs de métro devenus des demeures pour humains et où l’ignorance de ce que l’on est et l’attirance de ce que l’on a ne constituent pas une panacée pour la valeur humaine.  Même si la volonté de Mayombo n’est pas encore une décision transformée en acte et baigne encore dans le potentiel, le psychologique,  nous soutenons avec lui que c’est  un privilège pour tout homme que de  dépasser le présent.

  

M. Annie Lucienne.

11 avril, 2008

Cabri mort n’a pas peur du couteau: la presse gabonaise en parle

Classé dans : La presse en parle — azokhwaunblogfr @ 8:59

cabrimort.jpg cet article est paru le lundi 7 avril 2008 dans le quotidien national gabonais l’Union

7 avril, 2008

Qui est Marie Constance Zeng Ebome?

Classé dans : questions — azokhwaunblogfr @ 12:03

nzengebome2.jpg Merci de nous donner d’autres informations concernant cette poétesse. Nous enrichirons ainsi nos connaissances.

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