Pourquoi ce refus de mettre en lumière la littérature gabonaise: Vaillant s’interroge
Cet article publié il ya de cela quelques années et stigmatise cette volonté politique de mettre à l’oubli la littérature au bénéfice d’interets égoïstes et ravageurs.
on devrait poser la question aux professeur des lycées et collèges du Gabon.
ma petite soeur passe le baccalauréat.
depuis l’an dernier, les oeuvres gabonaises sont au programme.
son professeur de français à réussi a leur donner un cours de 4 pages sur « la litterature gabonaise » (cours pompé sur l’étude faite il y a quelques années par le professeur d’université Papa SAMBA DIOP), tout ça sans donner aux élèves ni un esxtrait de texte, ni même leur demander d’acheter rien qu’un roman qu’ils auraient lu en classe.
c’est tragique.
Leslie,
Sache que nombre de profs de français au Gabon sont des étrangers. Cela n’aurait pas dû poser un problème, sauf que ce sont des paresseux. Ils ne lisent pas, eux-mêmes, les oeuvres gabonaises (pour la plupart). Donc, ils pompent… Maintenant, tu comprends pourquoi il est plus facile pour eux d’enseigner des oeuvres d’écrivains d’Afrique de l’Ouest… Moi, ça m’étonnerait qu’on étudie des livres de gabonais à Dakar, Bamako, Niger et ailleurs.
Bref, que les prof gabonais se mettent un peu au travail pour valoriser les oeuvres gabonaises et ceux qui les font.
Les oeuvres d’auteurs étrangers sont les bienvenues, elles nous apportent un enrichissement certain. Mais, on aimerait aussi nous connaitre nous-mêmes ! N’est-ce pas ce qu’a dit le Philosophe ?