Ludovic Obiang, Peguy Auleley, Ludovic Obiang, Dominique Mwankumi, Jean Divassa Nyama
Lire en fête, a eu pour thème la littérature pour enfant, une problématique qui vise à susciter un esprit d’ouverture, de rencontre entre un individu et l’univers des mots. Par lui, une personne peut être amener à s’instruire, à se divertir, à s’interroger sur les questions soulevées par l’auteur de » la mise en scène des matériaux linguistiques , mis à sa disposition. Lire est un voyage, une manière certes solitaire d’habiter les mondes tout en étant de ce monde.
Nous invitons à la lecture de plusieurs écrivains qui ont écrit ont fait de la littérature de jeunesse un champ de prédilection: Premières lectures de Justine Mintsa, Lomé, Hahoo, 1998, Ymia petite fille du Gabon de Edna Apinda, Garde le sourire du même auteur et bien d’autres textes comme ceux de Nadia Origo.
belle initiative.
je n’ai pu assister à cette manifestation mais espère que l’on parlera encore et encore de la litterature jeunesse au Gabon.
Voici une photo que j’aime à voir. Comme à son habitude, Jean a réussi à réunir autour de lui quelques écrivains gabonais, ce qui n’est pas facile… C’est pourquoi je le félicite et l’encourage à continuer sur cette voie.
Savez-vous que vendre 1000 exemplaires de son livre est un rêve pour les auteurs gabonais ? Que faire pour qu’on soit lu ? Depuis quelques temps, les publications se multiplient et les écrivains font beaucoup d’efforts pour être visibles de leur public. Mais, pas grand monde ne bouge… C’est désespérant !
Justement, je vous sollicite pour faire le maximum de bruit autour de ma prochaine sortie. Je serai à Frontignan (15 minutes de Montpellier) le 20 décembre 2008, invité par cette ville au Salon du Livre « VENT D’AFRIQUE ». Je serai heureux de rencontrer des compatriotes et, pourquoi pas, leur dédicacer des livres.
esperons avoir des echos de ce salon du 20 decembre.
quand a l’avenir de la litterature gabonaise, il semble que la critique tire beaucoup trop et tue l’oiseau dans son oeuf.
mais…
Annie, peux-tu nous en dire plus sur les oeuvres de jeunesse ecrites par Nadia Origo?
Lucien c’est fort de l’affirmation suivante parue sur Gabonnews lors du voyage de Nadia Origo au Gabon l’été dernier que j’ai affirmé que son œuvre intitulé » Petites histoires des personnages de la bible » s’adresse aux jeunes. Je ne l’ai jamais lu et je n’ai guère reçu de résumé de cette publication. J’espère qu’un lecteur le fera. A défaut et bien, quand je le lirai, j’en ferai le résumé.
« Ces histoires sur les personnages féminins de la bible édifient non seulement les enfants qui sont en âge d’éducation, mais aussi les parents qui sont de plus en plus en manque de repères à causes de la dégradation des mœurs. Celles-ci peuvent leur permettre d’orienter leurs conseils, car ces femmes chrétiennes sont de véritables modèles », a-t-elle ajouté
Merci de m’en dire plus si tu lis cette œuvre avant moi.
Selon moi, il n’existe pas de critique littéraire au Gabon, sinon presque pas. Être enseignant de littérature ne fait pas de l’individu un critique. Publier un article complaisant ou destructif dans L’Union ne fait pas, de même, du journaliste un critique.
Un critique est un spécialité de la littérature qui publie (c’est donc aussi un auteur) des articles ou/et des œuvres sur des écrivains et leurs écrits. Il analyse ces derniers, aussi bien au fond que par la forme, relève les points forts et les points faibles de l’œuvre. Mieux, il aide à comprendre l’œuvre de l’auteur.
Alors, qui est critique au Gabon ? Fortunat OBIANG, peut-être… avec ses ouvrages parus chez L’Harmattan. Nous attendons toujours les autres…
Je serai l’écrivain le plus heureux si seulement si je rencontrai 10 gabonais, rien que dix, lors du Salon du Livre VENT D’AFRIQUE à Frontignan (à côté de Montpellier). C’est pour le 20 décembre.
Salut à tous.
j’espère mon cher Eric Joël, que de nombreux gabonais répondrons présents à cet appel et que le salon sera un franc succès pour vous.
merci à Annie pour cet espace d’expression. cela fait du bien d’être au courant de toutes ses petites manifestations qui peuvent changer nos vies de lecteurs si on a la chance d’y participer.
Le Salon du livre, VENT D’AFRIQUE, qu’organise la commune de Frontignan, à côté de Toulouse et de Montpellier, ne se tiendra plus le 20 décembre, mais le 13 décembre 2008.
Je serai heureux d’y accueillir de nombreux compatriotes.
Nous sommes ravie par cette belle initiative et nous espérons que le public sera au rendez-vous des mots.
Si je trouve que Peggy est très belle sur cette photo, par contre, je n’ai pas reconnu mon parent Ludovic. C’est quoi cette tête ? C’est le photographe qui a mal régler son appareil ou quoi ? lui, si beau garçon, semble avoir pris 10 ans de plus…
Amoureuses de Livres, je lis de tout, en particulier les oeuvres destinée à la jeunesse.
j’ai aimé
- le voleur de rêve, de Eric Joel Békalé (pour les nostalgiques de l’enfance, un bon remède).
- Garde le sourire, d’Edna Merey-Apinda (different, frais et enjoleur, il captive avec aisance et on croque dedans sans regret. Le personnage principal est très attancant)
il serait interessant d’avoir un apperçu exhaustif des oeuvres pour la jeunesse écrites par des gabonais.
En matière de littérature pour la jeunesse, on peut affirmer qu’en ce qui concerne le Gabon très peu d’écrivains s’investissent dans la littérature pour enfant, il faut dire qu’en dehors de Mintsa, Edna Apinda, je n’est guère lu d’autres auteurs gabonais qui écrivent sur la question.