Patrice Gahungu , étude sur l’Asseze africaine de Beyala
ANGOISSES NÉVROTIQUES ET MAL-ÊTRE DANS « ASSÈZE L’AFRICAINE » DE CALIXTHE BEYALA
Patrice Gahungu Ndimubandi
Quiconque a lu les romans de Calixthe Beyala a été impressionné par un métalangage psychanalytiquement orienté; de celui-ci l’écrivaine se sert copieusement pour rendre compte du comportement étrange de ses personnages. Très abondant, ce métalangage a été motivé par le fait que les acteurs évoluant dans cet univers romanesque sulfureux sont tous désaxés : ils sont rongés par un mal-être permanent. Comment en sont-ils arrivés à ce stade de délabrement mental ?
ISBN : 978-2-296-07560-3 • février 2009 • 272 pages
L’un des meilleur romans de mme Beyala. On y lit la force de la femme qui se relève et avance malgré les coups du sort.
Assèze l’Africaine est le roman que je préfère de Calixthe Béyala, avec La petite fille du reverbère. J’aime dans les textes de cette écrivaine la force des personnages féminins qui malgré l’adversité, avancent. Pas de fatalité avec cette plume. Ses mots sont toujours pleins de chaleur et de couleur.
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