ENGOUANG Hallnaut Mathieu recidive avec Les temps déchirés et Dis, quand me suis-je inhumé?
Voici des nouvelles publications parues en 2010 à Libreville aux éditions Ntsame situés au quartier Nzeng-Ayong dans la capitale gabonaise. Il s’agit d’un recueil de poèmes, Les temps déchirés de 52 pages, ISBN 978-2-917414-21-7 .
Et d’un recueil de nouvelles, Dis, quand me suis-je inhumé?, de 192 pages,
ISBN 978-2-917414-17-0.
Ces discours littéraires sont de Hallnaut Mathieu ENGOUANG, alias Hallnaut ENGOUANG. Enseignant, Professeur Certifié de Lettres qui exerce dans un établissement prestigieux d’obédience catholique nommé Institution Immaculée Conception.
D’autre part, il préside à une association: l’Union Gabonaise des Enseignants pour la Culture Francophone (UGECF). Cette association vient de mettre sur le marché gabonais, une étude critique, Regards sur les grands thèmes de la littérature gabonaise (tome 1), publiée aux Editions la Doxa, à Paris et comprenant 172 pages.
ISBN 978-2-917576-07-6.
C’est ici où je souhaitais intervenir… Encore toutes mes félicitations à mon frère Mathieu. Je suis réellement pressé de lire ses publications.
C’est ici où je souhaitais intervenir… Encore toutes mes félicitations à mon frère Mathieu. Je suis réellement pressé de lire ses publications.
Mais, au fait, Annie, tu n’as toujours pas annoncé LE CABINET MINISTERIEL sur ton cite ? C’est comment ma soeur…
Bien à tous!
Petit clin au recueil de nouvelles: Dis, quand me suis-je inhumé?
Voici un recueil qui laisse à réfléchir. La société, dans son ensemble est-elle si peu encline à la communication? Exerce-t-elle autant d’individualisme? Dis, quand me suis-je inhumé? est le constat d’échec de la communication dans une société dans laquelle, l’homme en opposition avec lui-même ne cherche plus la réponse à son interrogation chez autrui, mais se présente comme le destinataire de son propre questionnement. Et ainsi lorsqu’une opinion se forge dans sa conscience, il estime que la vérité ne peut être que celle-là, et agit de suite.
Nulle erreur n’est donc plus autorisée à l’homme.
Dis, quand me suis-je inhumé? est aussi la question que se pose un individu qui, ne sachant ni qu’il s’est trompé, ni quand s’est-il fourvoyé, voit sa vie basculer dans l’horreur sans qu’il ne réussisse exactement à précisier à quel moment le déchirement s’est incrusté avec autant de violence dans sa vie.
Un recueil de nouvelles à lire qui nous permet de revisiter l’homme dans sa bestialité primaire et de confirmer avec l’auteur que ce n’est pas parce que l’homme est doué de raison qu’il est pour autant raisonnable. Finalement, très souvent, l’habit que nous portons est factice; à la moindre difficulté, il tombe et revèle notre réelle personnalité.