La plume et les mots du Gabon

sociolinguistique, discours, littérature, arts

6 mars, 2012

l’héritière du jaspe, le roman de Lucie Peggy AULELEY

Classé dans : information publique — azokhwaunblogfr @ 19:39

Voilà une plume gabonaise qui avec ce roman publie signe une troisième oeuvre. Poetesse et romancière, cette professeur de français manie avec propreté la langue française et nous donne à lire un discours ou l’amour et les choix se diverfient et font d’un être humain, ce que ce dernier aura choisit d’être.

extrait: Nzoghe l’aimait.

Ce livre est disponible en vente sur internet. Il est publié en 2012 aux éditions Odette maganga à Libreville au Gabon.

Tant qu’il y ‘aura des rêves, le roman de Ntsame Obame Pelagie

Classé dans : information publique — azokhwaunblogfr @ 19:34

Pélagie Ntsame Obame, est l’auteur de ce roman. Elle signe ici son premier livre en prose.
En voici un extrait:

“ Un peu plus loin, un bourdon, peut-être une abeille, s’envole lourdement et je le suis des yeux jusqu’à ce qu’il fut avalé par la forêt. J’aime à penser que c’est un bourdon car son histoire est pour moi, un magnifique encouragement. J’ai lu quelque part que selon la légende, le bourdon ne devait jamais voler. Son corps est bien trop lourd pour ses petites ailes. Mais le bourdon ne le sait pas, alors il vole. Et il vole superbement. Nous sommes parfois limités par la science, la logique, le genre, l’histoire de notre race, de notre pays, de notre famille, de nos échecs. Mais en faisant fi de toutes ces limitations, en écoutant notre cœur et en mettant un peu de folie dans notre vie, nous pouvons nous apercevoir, qu’au bout de nos craintes et de nos peurs, se trouve la piste d’envol de notre succès, de notre épanouissement.

Disponible en ligne ( achat)
Prix: 18 €

Le destin de Doussala : un roman de Maurice Okoumba Nkoghe

Classé dans : information publique — azokhwaunblogfr @ 19:22

Cet auteur prolifique nous propose ici un livre captivant qui mèle le visible et l’invisible, le rationnel et l’irrationnel, entre prédictions et réalisation, la manière d’habiter le monde est bien spécifique à un groupe, à un individu.
Extrait:
« Elle poussa les fillettes en avant et se rassit au pied d’okala. Les gamines, sans la lâcher, l’imitèrent. Issinga semblait transfigurée. Elle dit encore :
- La mort de Doussala est comme un acte rituel.
Les écureuils, auditeurs, silencieux, regardaient, semblaient écouter. Ici, sur les hauteurs de Pomi, la grand-mère livrait à la génération future un message essentiel.
- Une mort obéit toujours à un programme.
Matsiendi était au nombre de ceux qui ne comprenaient pas encore où voulait-elle en venir. Pour lui, Tessa était entièrement responsable de la mort de sa femme. Il l’avait avoué publiquement avant de rendre l’âme. De quel programme parlait la grand-mère ? Il ouvrit la bouche, mais aucun son n’en sortit. Il voulut se lever, mais absurdement, il ne put se mouvoir.

Publié à libreville en 2012, ce roman a vu le jour aux éditions maganga. Disponible en ligne ( achat)

Ulrich Mboyi,  »Ma compagne l’école » est son premier roman

Classé dans : information publique — azokhwaunblogfr @ 19:11

Cette oeuvre est la première de ce romancier dont la plume laisse présager des jours à venir prometteurs.

extrait« Octobre 20 … L’année scolaire venait de commencer. Le rituel des retrouvailles n’était pas encore entamé. Chacun, à sa manière, manifestait sa joie auprès de ses amis. Au-dessus du bâtiment de l’administration se dressait celui des 3e.

Ce livre est publié par les éditions odette maganga à Libreville en 2012.

Gilbert nguema et son récit: une initiation dangereuse

Classé dans : information publique — azokhwaunblogfr @ 19:04
 
 
Gilbert.Nguéma Mbeng est l’auteur de cette oeuvre.

 

Résumé

 Le sujet du récit, Cascade, a un père sage et vertueux qui ne comprend pas ce qui arrive à son fils.

Né d’une famille démunie, Cascade découvre à Libreville des groupes de malfaiteurs (les gangs). Tenté par le train de vie de ces derniers, il en fera bientôt partie. Ce qui le pousse à poser des actes répréhensibles.
Très jeune encore, Cascade utilisait le mensonge et la ruse pour obtenir gain de cause, persuader ou dissuader. Parfois, il utilisait la menace quand il était à court d’arguments. Cascade n’était jamais satisfait de ce qu’il avait et enviait toujours les choses des autres. On lui donna par dérision le sobriquet de « monsieur Donne-moi ». Car il recevait toujours des autres, mais ne savait pas partager ce qui était à lui : une attitude qui contrastait avec le caractère généreux de son père..
 
Un récit publié en 2012 aux éditions abdon maganga à Libreville au Gabon.

 

 

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