La plume et les mots du Gabon

sociolinguistique, discours, littérature, arts

28 février, 2009

UNE CRITIQUE SUR LA FEMME ET SES IMAGES DANS LE ROMAN GABONAIS PAR MBAZOO

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 11:50

LA FEMME ET SES IMAGES DANS LE ROMAN GABONAIS
Chantal Magalie Mbazoo Kassa
Préface de Bernard Mouralis
Critiques Littéraires
LITTÉRATURE ETUDES LITTÉRAIRES, CRITIQUES AFRIQUE NOIRE Gabon

L’étude de la femme et de ses images dans la prose romanesque gabonaise est surtout une photographie de la femme plurielle, telle qu’elle se donne à lire à travers les mécanismes d’écriture des auteurs, notamment : Ntyugwetonde Angèle Rawiri, Laurent Owondo Ambaye et Maurice Okoumba-Nkoghe. Quatre images féminines, à savoir « l’aliénée », « la rebelle ou la révoltée », « la déterminée ou la rusée », et « l’émancipée ».

ISBN : 978-2-296-07641-9 • février 2009 • 238 pages

27 février, 2009

Moutsinga: la formalisation poétique de l’essence  » Gabon »

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 18:07

bellarminmoutsinga.jpg LES ORTHOGRAPHES DE L’ORALITÉ : POÉTIQUE DU ROMAN GABONAIS

Cette publication vient enrichir l’activité critique sur les romans gabonais. 

La littérature gabonaise écrite d’expression française procède d’une rencontre féconde entre les figures ethnotextuelles de l’oralité traditionnelle (contes, légendes, popées, panégyriques etc) et la dynamique ouverte de l’écriture. Ce mouvement d’ensemble crée ce que l’auteur nomme, d’un concept opératoire inventif, les orthographes de l’oralité, qui disent la poétique du texte gabonais. Ce constat valide au reste, le travail du poème, le lieu du dire théâtral ou encore le discours du roman.

ISBN : 978-2-296-07503-0 • janvier 2009 • 244 pages

11 février, 2009

Peter Ndemby: L’écriture et les sans papiers par Ernest Nziengui

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 14:01

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Littérature gabonaise face à la modernite: Le point de vue de Géorice Madebe

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 12:46

 » On conçoit que cette littérature est tricéphale : exigeante, moyenne et problématique. D’un point de vue synchronique, c’est cela la modernité littéraire gabonaise. Il est aisé de croire que tout le monde devra écrire comme Bessora ou Owondo ou Moussirou. C’est utopique.

La sociologisation de la littérature au Gabon n’autorise pas de le penser. Cette photographie de l’état de la littérature au Gabon, d’un point de vue synchronique, ne doit pas nous amener à penser que tout le monde devrait écrire comme les auteurs dit modernes en occident. Là-bas, on voit comment le sillon de l’histoire s’est creusé pour rendre sociologiquement et anthropologiquement possible l’avènement de la modernité comme aboutissement d’une construction intellectuelle de la société et de ses modes de représentation symbolique (musique, art, littérature, etc.). Il y a donc une historicisation et une sociologisation de la modernité. Dans le cas de l’Afrique et du Gabon, notre modernité s’affirme par une incapacité à inventer un ordre symbolique qui tienne en relation non conflictuelle notre passé, notre histoire, notre avenir. C’est ce que la littérature gabonaise démontre à suffisance. Donc, c’est cela notre modernité, si l’on voit les choses de façon pragmatique. Sans doute la modifierons-nous. Encore faudrait-il que cet ordre symbolique nouveau caractérise notre conscience collective, comme par exemple en occident. En définitive, je crois que l’on ne peut pas appliquer la modernité occidentale à la réalité africaine ».

Enfin. voilà un intellectuel gabonais qui met à nu ce concept de modernité et de post-modernité  que l’on entend prononcer ci et là dans les couloirs des départements de lettres modernes et de lettres africaines qui peut parfois plonger l’observateur dans une forme de confusion criarde.

Ce concept de modernité que l’on met à toutes les sauces  lorsqu’il s’agit de dessiner les archétypes spécifiques à la littérature gabonaise à laquelle on veut à tout prix et à tous les prix collée l’étiquette d’une modernité que le  » conscience  » nationale ignore.

Etonnant n’est-ce pas que de voir tout le symbolisme culturel gabonais réduit à une quête du vide, de la page blanche, de l’évidemment, de la déconstruction , alors que la construction est en cours.

L’imaginaire linguistique  » gabonais » avec son cortège de  » sous discours » dont certains  gisement sont parfois à chercher dans des cultures autres que celles du Gabon se  présente alors aux yeux du chercheur comme un vaste champ dont il convient d’abord de mieux délimiter les parcelles avant de tenter de rechercher les grands traits qui participerait d’une forme d’uniformisation.

Sous quelle autorité doit-on prétendre que seuls les textes de Bessora, Owondo, Moussirou, relèvent de la modernité?

Si les schèmes sociologiques et historiques plantés par Madebé permettent d’établir une certaine modernité, alors , lisons toutes les productions faites par les gabonais au fil des années et espérons y trouver une intertextualité capable à un moment donné de signaler non seulement des ruptures mais aussi quelques avancées dans ces conditions seulement nous pourront envisager une modernité, pas comme une rupture absolue avec le passé, mais uniquement comme un prologement profond, signe de progrès.

30 janvier, 2009

La littérature ne se résume pas au roman, au théâtre, à la poésie, à l’essai.

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 12:51

« Pour l’écrivain, la littérature est cette parole qui dit jusqu’à la mort : je ne commencerai pas à vivre avant de savoir quel est le sens de la vie. » (R. Barthes)

« La littérature est la preuve que la vie ne suffit pas. » (Fernando Pessoa) Si l’on s’accorde avec ces deux définitions, on ne peut pas dire que la littératre soit un tout que l’on peut résumer à des genres comme le roman, la poésie, le conte, l’essai, le théâtre comme semble nous le signaler la configuration que l’on se fait dans le microcosme que certains intellectuels ou pseudo -intellectuels du Gabon. 

Qu’on se le dise une fois pour toute la littérature est un vaste champ ouvert  pratiquement interdit à toute classification. Et pour le dire avec Auguste Moussirou Mouyama:

 » Je ne pense pas qu’un bon critique soit forcement un bon romancier par exemple. Je ne pense pas que quelqu’un, aussi diplômé soit-il, soit forcement un bon romancier. il y a donc quelque part un piège de penser que le littéraire, c’est celui qui a fait de haute études, de penser que le libellé delivré par telle ou telle université nous autorise à écrire des romans. Je pense qu’il y a des terres fertiles, qui n’ont été à l’université, mais qui peuvent produire » in Notre Librairie , n° 105, avril-juin, 1991, pp. 48-49.

Le mot littérature (du latin littera, « lettre », puis litteratura, « écriture », « grammaire », « culture ») désigne principalement

  • L’ensemble des œuvres écrites ou orales fondées sur la langue et comportant une dimension esthétique (à la différence par exemple des œuvres scientifiques ou didactiques) : sens attesté en 1764 ;

  • Les activités de production et d’étude de telles œuvres : sens apparu dans la première partie du XIXe siècle ;
  • L’ensemble de textes publiés relatifs à un sujet, qu’ils aient ou non une dimension esthétique (d’après l’allemand Literatur, 1758). C’est en ce sens que l’on peut parler par exemple de littérature scientifique. L’expression littérature grise désigne les textes administratifs ou de recherche non publiés servant aux échanges entre professionnels d’une même discipline. La littérature peut se concevoir comme l’ensemble des œuvres qui utilisent les mots comme moyen d’expression; l’activité, le métier des écrivains,

Aussi, il est tout fait étonnant de lire par exemple sur une page web que le critique Obiang Fortunat Essono a sorti son premier roman, alors qu’il s’agit bien d’une oeuvre critique. Ce type de confusion vient du fait que nombre d’indivudus résument la littérature au roman et aux genres les plus souvent cités . Dommage.

 

6 janvier, 2009

Pratiques culturelles au village: Nza Mateki le poète d’un genre de vie

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 17:55

J’ignore le nombre de lecteurs qui ont bien pu passer du temps sur l’oeuvre de Nza -Mateki, mais pour ma part j’ai particulièrement lu  » Echos du chemin » et « le retrait de deuil » est une nouvelle qui m’a particulièrement bouleversée en ceci qu’elle formate sur papier une des festivités les plus connues du Gabon qui se déroule en général en saison sèche et qui rassemblent des acteurs de générations divers d’où sa pluralité. Cette dernière met en exergue le coupe tradition/modernité que tant de lecteurs récusent, trouvent passéiste voir rébarbatif dans la littérature africaine écrite au sud du Sahara.

Mais il n’en demeure pas moins que ces célébrations attirent les foules et forcent les désargentés à envier les argentés qui n’en sont pas toujours de vrais et honnêtes  riches. Toujours est-il que cordialité, beauté et réjouissance sont les maitres mots en ces jours jaunes où chacun n’est pas n’importe qui et compte le faire comprendre à son entourage. Aussi rivalise-ton d’ardeur en danse, en capacité vestimentaire, en potins, en « moi je ne suis pas n’importe qui. Je ne porte pas n’importe quoi. Je suis tout de même la maitresse attitrée de … »,  C’est un moment de valorisation de l’égo très particulier et très dense. Toutefois, il se compose de deux axes et ses prolongements touchent tant la veuve que l’orphelin. Retour avec l’auteur sur « Le retrait de deuil » pp. 55-63.

Une certaine  » modernité se laisse à voir dans ce texte de par un vocabulaire que je trouve assez tendance comme la lexie de » cotis » p. 56 en ce qui concerne la nourriture que l’on mange pendant le retrait de deuil

Bien plus, à propos des boissons on peut lire:

  » Ce comité responsable des boissons se lance dans la recherche du vin de palme afin d’ajouter une couleur locale à leur ensemble » (p. 56). En quoi le vin de palme ne sert-il qu’à y introduire un parfum local dans les boissons consommées lors de cette veillée? Est-ce à dire que les autres boissons sont importées? 

Pour ma part comme pour beaucoup d’autres personnes, l’écriture est un mélange de l’imaginaire et du vécu de l’auteur. C’est pourquoi on  trouve des produits courants comme les cotis,  les boissons modernes, etc à côté des provisions venant du terroir. En ville, le vin de palme est une boisson rare. C’est pourquoi les membres du retrait de deuil veulent en boire à bas prix lors de ce court séjour au village.

Je crois que l’ inexistence de l’église en ces lieux de retrait de deuil signe encore le fort taux d’animisme dans la contrée où se déroule ce retrait de deuil. On peut aussi y voir la difficulté de la religion chrétienne à s’installer dans des contrées souvent éloignées des centres urbains. Etonnant n’est-ce pas lorsque l’on sait qu’aujourd’hui, dans de nombreuses  contrées du pays, des églises éveillées naissent au fil des jours. Qu’en penses-tu?Signe des temps?

Les églises catholique et protestante sont implantées dans les centres urbains ou d’autres regroupements plus importants que le village. Les responsables ont leurs raisons non liées au degré d’animisme des villageois. Les églises éveillées installent parfois de petites cellules de prière dans les villages et qui ne sont pas comparables à de véritables églises.

Un vocabulaire varié qui relève des rites, traditions et croyances de
chez nous inonde particulièrement cette nouvelle.
Le mwiri, ce « livre » que des hommes lisent ,gouverne le déroulement de la branche traditionnelle de ce retrait de deuil.
Est-ce un choix de l’auteur de préférer parler de la mort d’un homme Bioko?
Quels sont les motivations? Est-ce parce que l’auteur le maîtrise plus?

Le mwiri est à la fois un mythe et une société secrète des hommes. Les femmes ont les leurs comme le nyembé ou ndjémbé, le lyssimbou, le mougoulou, etc. Le mwiri a été prévu ici parce-que ce retrait de deuil fait suite à la mort d’un homme qui était initié à ce rite. Le choix d’un homme est tout simplement un hasard.

Et que dire des femmes en ces moments? Se cantonnent-elles  aux danses laiques   ( musique moderne)?

Non, elles participent aussi selon l’art et les valeurs à respecter

Une poétesse pour  donner goût à un certain lyrisme par l’épopée de Mambwang  est-ce possible ou est-ce une simple envie de  » fantasmagorie »?

L’épopée Mumbwang est maîtrisée à la fois par les hommes que par les femmes. Le choix d’une femme est ici hasardeux.

Comment justifier l’abandon des assiettes sur les tables alors qu’il y a des équipes  toutes désignées pour ramasser ces objets usagers?

Après manger, les convives laissent leurs assiettes sur les tables où les hôtesses ont plus de facilité pour les ramasser

Cette organisation souffrirait-elle de défaillance ou bien cela se donne t-il  à lire dans un certain laxisme des uns et des autres signalant une  déperdition de « savoir faire » et devoir être propre et ordonné?

les invités à une cérémonie au village ou en ville ont l’habitude de ne pas  apporter une aide quelconque aux organisateurs de la manifestation. C’est le cas des assiettes qui sont déposées sur les tables par les invités après avoir mangé. Je ne dis pas que c’est là une bonne habitude de rester les bras croisés alors que donner un petit secours est souvent  accepté avec bonheur. Tout ceci est le résultat d’une certaine éducation de chaque personne.

Pourquoi ce retrait de deuil en deux facettes traditionnel/ moderne?

La société actuelle est métissée culturellement, c’est pourquoi ce retrait de deuil a des formes traditionnelles et modernes.

Quelle place accorde t-on à la veuve si son maintien dans la famille ne lui est  possible que par la maternité?

La veuve peut rester dans la famille de son mari décédé même si elle n’a pas eu d’enfant. La présence des enfants est tout simplement un facteur qui resserrent un peu plus les liens entre celle-ci et sa belle famille.

Mpenga Annie Lucienne/ Nza Mateki.

26 décembre, 2008

ECHOS DU CHEMIN: autour du thème de l’inquiétude et de la mort

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 15:33

 A PROPOS DU RETRAIT  DE DEUIL L ‘AUTEUR DIT 

Pour ma part comme pour beaucoup d’autres personnes,l’écriture est un mélange de l’imaginaire et du vécu de l’auteur. C’est pourquoi on  trouve des produits courants comme les cotis,  les boissons modernes ( djino, regab, etc) à côté des provisions venant du terroir.

En ville, le vin de palme est une boisson rare. C’est pourquoi les membres du retrait de deuil veulent en boire à bas prix lors de ce court séjour au village.

Les églises catholique et protestante sont implantées dans les centres urbains ou d’autres regroupements plus importants que le village. Les responsables ont leurs raisons non liées au degré d’animisme des villageois.

Les églises éveillées installent parfois de petites cellules de prière dans les villages et qui ne sont pas comparables à de véritables églises.

Le mwiri est à la fois un mythe et une société secrète des hommes..Les femmes ont les leurs comme le nyembé ou ndjémbé, le lyssimbou, le mougoulou, etc. Le mwiri a été prévu ici parce-que ce retrait de deuil fait suite à la mort d’un homme qui etait initié à ce rite. Le choix d’un homme est tout simplement un hasard.

L’épopée Mumbwang est maîtrisée à la fois par les hommes que par les femmes. Le choix d’une femme est ici hasardeux.

Après  avoir mangé, les convives laissent leurs assiettes sur les tables où les hotesses ont plus de facilité pour les ramasser.

La société actuelle est métissée culturellement, c’est pourquoi ce retrait de deuil a des formes traditionnelles et modernes.

La veuve peut rester dans la famille de son mari décédé même si elle n’a pas eu d’enfant.

La présence des enfants est tout simplement un facteur qui resserrent un peu plus les liens entre celle-ci et sa belle famille

 Les questions qui ont suscitées ces réponses seront mises  en ligne le plus tôt possible.  Mais si vous voulez mieux les comprendre, il suffit de lire  » échos du chemin de NZA MATEKI.

22 août, 2008

L’envol de la neutralité titrologique chez Edna Apinda

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 11:00

auteur87191.jpg Lecture posée sur un socle théorique à ciel ouvert, elle donne à saisir le cadre spatio-temporel comme la représentation d’un univers à voir, à montrer, sur lequel l’on peut s’interroger en se fondant sur l’ensemble des titres de ses nouvelles et d’un de ses romans.

La tritrologie chez Edna Apinda porte surtout les signes d’une neutralité ( si l’on excepte bien entendu Ymia le personnage de son premier ouvrage ) traduisant ainsi ce côté naïf, ingénu, dépouillé de toute maîtrise du  »fatum » et logé dans le sein de  »l’enfance », thème de prédilection de cet auteur pour qui l’évasion à travers la lecture ( cf. Garde le sourire) est aussi une autre manière de s’émanciper des miasmes de la société dont nous en prenons conscience qu’une fois sorti du nid douillet : l’enfance.

Période où l’observation, la découverte progressive de ce que l’on est, de ce que l’on a, de ce que l’on peut savoir-faire est un tout qui influence les choix porteurs d’un futur aux tentacules incertaines.

La neutralité, les stigmates de l’impersonnalité tritrologique des œuvres d’Edna Apinda inspire une certaine universalité qui pose ses écrits dans le sillage du possible. Une qualité non négligeable qui justifie en partie la lecture aisée de ses ouvrages. Peut-être faut-il voir en ses productions, la voie d’une pénétration simplifiée vers des objectifs instructifs, véhiculaires d’évasion  et de divertissement. Une part belle semble ici être accordée à la propagation d’activités nobles : Etre et ‘‘appréhender’’ le monde.

Je suis d’elle : Nouvelle d’Edna Marysca Merey-Apinda (2004)

 Le sourire de mes seize ans : Nouvelle. (2006)

 Ce soir je fermerai la porte

La vie d’une autre : Nouvelle. (2007)

 Il pleut sur la ville : Nouvelle. (2008)

 Garde le sourire 2008

 M.A.L.

29 juillet, 2008

Querelle quantitative et qualitative sur la littérature gabonaise

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 14:58

Querelle quantitative et qualitative sur la littérature gabonaise : Ngowet-Bitome Bi- Monoyong,- Leckyou- Obiang –Essono.    

 Ngowet Luc : « Littérature gabonaise : un renouveau en trompe-l’œil », in L’Union, quotidien gabonais d’information, 6 octobre 1999.    

Réponse : BITOME BI MONOYONG, « Littérature gabonaise : le dénigrement n’est pas la critique », in L’Union, quotidien gabonais d’information, 18 octobre 1999.   

Réponse : LECKYOU Frédéric, « Littérature gabonaise : halte à l’impressionnisme », in L’Union, quotidien gabonais d’information, octobre 1999, p. 5.  

Réponse : Obiang Fortunat Essono « Eloge et Défense de la littérature gabonaise », in L’Union, quotidien gabonais d’information du 25 octobre 1999, p.5.     Ces échanges  ont donné  à notre avis une impulsion à la littérature gabonaise . D’où sa troisième période bien productive actuelle.  

La querelle Ngowet-lekyou et Obiang Fortunat: Pour quelle littérature gabonaise.

Classé dans : critique et analyse — azokhwaunblogfr @ 13:40

01ngowet1.jpg   couvmiseres1ss.jpg couvmiseres4.jpg 

L’article ouvert et très acerbe sur la littérature gabonaise en en général au Gabon écrit pas Luc Ngowet en 1999 a mis le feu au poudre. Des universitaires et des hommes de lettres se sont affrontés , chacun faisant entendre ses opinions. Les conclusions parfois contradictoires ont abouti à l’éclosion des lettres gabonaises dont le vivacité se fait de plus en plus sentir actuellement aussi sommes-nous convaincus  que la mise en exergue de ces articles divers qui ont animé le débat. Nous vous proposons d’abord de faire un tour dans l’ouvrage de l’initiateur de cette reflexion sur la qualité et la quantité des productions scientifiques et intellectuelles gabonaises.

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