Mystery of Mount Brazza, The: Inspired from a True Story
Product DetailsISBN: 978-1-4512-3177-9 # Pages: 210 Pages Dimensions: 6 x 9 Format: Softcover
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18 octobre, 2011
28 juillet, 2011
Mystery of Mount Brazza: english text by Steeve Nze.
13 juillet, 2011
Ditsingouli: le journal d’une gabonaise de Beny, une écriture cathartique
Ce journal est le récit authentique d’une femme africaine qui a grandi au Gabon avant de partir vivre en France.
On la découvre vulnérable, mais courageuse. Ne baissant jamais les bras, à ses risques et périls, elle affronte les épreuves difficiles et les frustrations de tous ordres avec bravoure.
Ce témoignage est né dans les doutes et les larmes. Il doit son existence à un épisode tragique de la vie de l’auteur : celui où un de ses enfants a frôlé la mort. Se retournant alors sur son propre destin chahuté, elle a décidé de se confronter à l’écrit, comme une décharge affective réitérée, comme une thérapie libératrice
ISBN : 9782362520150
Pages :308
Genre : Témoignage
Publication: 4-2011
Edition: Melibée , France.
30 juin, 2011
Une larme de désespoir: Gylis Michel Allogo, une plume de l’affect
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En publiant, Une larme de désespoir, Gylis Michel, Allogo donne au lecteur à voir le monde à travers les aventures d’André dont la passion pour la photo rappelle à bien des égards l’attrait de l’image pour Joseph Iquaqua l’un des premiers gabonais qui a su donner à cette » expression » culturelle, un sens à la fois artistique qu’économique au Gabon. Un filon exploité par notre héros aux prises entre turpitudes existentielles, plaisirs et désirs. Une véritable épopée sentimentale. Entre raison et passion, argent et pauvreté, dépassement et stagnation/ résignation.
Nous attendons vivement vos analyses et commentaires
ISBN/ 978 27 48 35 31 29
Publibook, 2010.
132 pages.
13 mai, 2011
kABA MARC, »sous le pont de bomo »: un existentialisme conjugué au »passé-présent » et au »présent du passé »
Au soir de ma lecture de » Sous le pont de Bomo », je constate avec force que je ne m’étais pas trompée en criant que je venais de découvrir une puissante plume gabonaise. Cette seconde publication que je lis justifie mes jugements. En effet, après avoir parcouru la véritable leçon de vie sur la différence entre fatalité et fatalisme, entre envie de se dépasser et tentacules méandreuses et nauséeuses d’un passé mal assumé et d’un avenir toujours à conquérir, en faisant fi d’un passé non glorieux, je constate ici que l’existentialisme sartrien ( on est que ce que l’on se fait soi même) peut être une philosophie de vie qui a sa valeur dans une société où ressembler aux autres, à ceux qui ont » réussi » constitue la pierre que le condamné ( comme Sisyphe de Camus), le mal loti, doit rouler, oubliant pour sa part ses limites à être les autres qu’il ne sera d’ailleurs pas.
Bien mis en valeur par des phrases complexes au développement instructif, soutenues le plus souvent par des propositions subordonnées relatives qui permettent de mieux caractériser, mieux faire comprendre l’essence des sujets et des objets évoqués, cette écriture du passé-présent et du présent du passé de Ndoka( p.98), est une véritable fresque sociale..
Partir du simple au composé, en y adjoignant des nuances résolument significatives font de ‘’ Sous le pont de Bomo’’ l’antithèse de ‘’sur le pont de Bomo’’ véritable lieu d’ouverture par des échanges discursifs les plus inattendus. On passe en effet de la possible confrontation à la révélation de la vérité, à la prise de conscience fondamentale d’une certitude souvent niée.
Il semble que cette dernière git ‘’Sous’’ le pont de Bomo et qu’en se mettant sur lui, les effluves du vrai ou de la réalité remontent à la surface et parviennent jusqu’aux yeux des promeneurs pas toujours solitaires comme Ndoka.
Le vocabulaire varié et les synonymes indexés aux verbes, adverbes et adjectifs, donnent aux noyaux » noms » ou autres prédicats la force, la puissance et le rythme d’un discours coulant aux confins de la réalisation de l’homme dans un monde composé de valeurs individuelles, plurielles, différentes et souvent complémentaires pour peu que l’on sache les mettre ensemble.
Charnet Annie Lucienne
Sous le pont de Bomo, 2011, Libreville, les éditions Odette Magangna, ISBN: 978-2-919487-02-8
18 avril, 2011
pulcherie abeme nkoghe présente ses oeuvres à port-gentil le 20 avril 2011
affiche11.pdf c’est à la salle des fêtes du collège raponda walker que pulcherie abeme nkoghe présentera ses trois récueils de poèmes à port-gentil, entrée gratuite.
11 avril, 2011
Sous le pont de Bomo, le second roman de Marc Kaba
Quelques mots sur le thème évoqué
Le nom, dit-on chez nous, est esprit,; et même, bien souvent, esprit maléfique. Plus vieux, plus fort et plus lourd que celui qui le porte, un nom sait traverser les âges et les époques, au point de fixer, de créer un rapport singulier entre un enfant et son ancêtre.
L’ancien et le nouveau ne font-ils pas un chez le même serpent aux interchangeables peaux ? Pour l’avoir vérifié à ses dépens en recevant, à la naissance, le nom et les pouvoirs cachés de son défunt grand-père sorcier, Ndoka voudra le faire payer à son propre père Tseyi, l’imprudent artisan de ce baptême-renaissance.
mais Tseyi parvient à lui opposer lui aussi des moyens mystiques d’envergure.
leur combat de titans, engagé sous la forme d’un monstrueux cochon sauvage et en crocodile géant devenus, les rendra tous deux prisonniers d’une immense et indémolissable nasse mystique placée au fond de la rivière Boungui, sous le pont de Bomo.
ce livre est disponible sur amazon.fr, il coute environ 15 euros
On le retrouve aussi à la fnac
A Libreville et à port-gentil, il se vend à 9.000 cfa.
Une écriture délectable, instructive. Le style est bien fouillé.
Le poids et les valeurs du » nom », ici, le terme d’adresse ou l’appelatif joue sur le destin, un véritable enjeu sociologique.
25 mars, 2011
Après grand ecart, Eric joèl revient en 2010 avec Le cabinet ministériel et en 2011 avec Pour une diplomatie gabonaise au service du developpement
Ces deux nouveau livres sont beaucoup plus centrés vers la diplomatie, une thématique qui s’infère à sa profession. Cet homme d’expérience et ce lecteur avisé nous donne les clés de la compréhension du focntionnement diplomatique et les processus qui reglemente ce versant du développement économique et social des sociétés actuelles.
Le roi de Libreville: le nouveau roman de Jean Divassa Nyama
brochureroidelibrevillenet.pdf
Merci de laisser vos commentaires et analyse.
Ce livre est en vente sur amazon à 9.5 euros . bonne lecture.
28 février, 2011
Andre Zoula recidive: un roman, une voix…
La Voix de l’ombre
Par André Zoula
Thème : Roman d’aventure
Genre : Roman
166 page(s) noir et blanc
Format classique 13/20 cm
Ouvrage publié le 18/01/2011
ISBN : 9782812140150
Resumé de l’auteur:
La Voix de l’ombre est une tentative de reconquête de l’héritage ancestral. C’est une problématique de la perte des valeurs du Noir dont la mémoire reste fortement impactée par le désordre historique de l’Occident. Il ne s’agit pas des seuls peuples d’Afrique, mais de tous ceux qui connaissent ou qui ont connu l’exploitation, la dictature de ceux qui s’estiment « forts » et/ou « civilisés », et qui croient aujourd’hui avoir perdu leur identité. Ici, c’est la recherche de l’équilibre culturel, de la reconnaissance des valeurs de l’Autre, gage de vie et de progrès universel.
Ebène Anvame est une jeune fille d’une dizaine d’années. Unique enfant de ses parents, elle est choisie par les ancêtres pour reconquérir ce qui est devenu pour son peuple la seule voie lui permettant de retrouver sa nature originelle. L’héroïne se lance dans une aventure où seuls le pouvoir des ancêtres et sa connaissance de la culture de l’Autre lui servent de guide. Mais tout au bout du chemin, il y a la mort, l’amour et le rêve.